A la Une

Les industriels français accumulent de l’expérience dans la voiture automatisée

(Paris, le 11 février 2016)

En 2015, en quelques mois, les 4 prototypes déployés en France par le groupe PSA ont accumulé 10 000 km sur route ouverte.

L’un d’eux, qui avait établi une première en France, en reliant en mode autonome Paris à Bordeaux (580 km) à la veille du Congrès sur les ITS, a réédité cet exploit. Ce C4 Picasso a franchi les frontières de l’hexagone avec un parcours d’environ 3 000 km en novembre depuis Paris, pour rejoindre Madrid en passant par Vigo.

Le boîtier magique d’Audi pour la voiture autonome

(Paris, le 9 février 2016)

Au lieu de placer à différents endroits de l’habitacle les systèmes d’aide à la conduite, Audi a décidé de les réunir dans un même lieu pour ses futurs modèles.

Pour ce faire, la marque a créé le zFAS, une unité centrale de contrôle des systèmes d’aide à la conduite. L’unité a été réalisée en partenariat avec TTech, Mobileye, NVIDIA et Delphi.

Sortir du diesel? Pourquoi l'industrie allemande dit non

(Paris, le 5 février 2016)

Alors que les opposants au diesel crient à l’escroquerie, suite au vote du Parlement européen qui valide une certaine tolérance* pour les futurs tests sur route entre 2017 et 2020, l’industrie allemande réaffirme avec force que cette motorisation est indispensable pour réduire les émissions de CO2.

La voiture autonome ancrée dans l’imaginaire américain

(Paris, le 8 février 2016)

Si General Motors vantait dès 1939 l’avenir des véhicules automatisés dans le cadre d’une exposition baptisée « Futurama » et montée spécialement pour cette occasion, il faut attendre les années 50 pour que ces modèles prennent forme aux yeux de la population.

Une publicité parue dans le Saturday Evening Post en 1950 accélère les choses. On y voit une famille jouant au Scrabble dans une voiture dont l’habitacle est entièrement vitré, avec le conducteur tournant le dos au volant et appuyant son coude sur la portière.

La catalyse SCR est-elle la solution gagnante pour le diesel?

(Paris, le 25 janvier 2016)

Renault n’a pas triché, mais il a fait le minimum syndical pour aborder la norme Euro 6. Le choix technique du constructeur a été d’opter pour le piège à NOx (oxydes d'azote), l’une des deux technologies disponibles sur le marché.

C’est la moins chère, mais pas la plus efficace, car son utilisation est soumise à des contraintes (notamment de températures).