Baromètre Energies: 2020, l'année des "électrifiés"

(Paris, le 5 Janvier 2021)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies? Pour répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le quatrième trimestre 2020 confirme la forte poussée des véhicules électrifiés (100 % électriques, hybrides et hybrides rechargeables) en entreprise, au détriment des énergies thermiques.

• L’essence affiche une part de marché de 18,54 % à la fin du quatrième trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. Sur l’ensemble de l’exercice 2020, elle abandonne 3,9 points de part de marché et ressort comme la grande perdante des énergies dans les parcs d’entreprise.

• La part de marché du diesel s’établit à 67,62 % au quatrième trimestre. Sur un an, l’ancienne motorisation « reine » des parcs automobiles cède 3,2 points de part de marché, ce qui prouve une certaine résistance liée à ses qualités intrinsèques pour des kilométrages importants.

• L’hybride continue sa marche en avant au quatrième trimestre, avec une part de marché de 9,58 % en entreprise. 2020 restera ainsi ainsi comme l’année des hybrides, cette motorisation s’adjugeant 5,47 points de parts de marché en un an.

• L’électrique ne profite pas pleinement de la chute des motorisations thermiques. Au quatrième trimestre, sa part de marché repart certes à la hausse, à 3,94 %Mais sur un an, elle ne gagne que 1,6 point de part de marché.

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au quatrième trimestre 2020, le diesel affiche une part de marché de 42,72 %. Ce qui représente une perte de part de marché de 1,87 point en un an.

• L’essence affiche une part de marché de 38,52 % au quatrième trimestre. Sur un an, l’essence cède 9,9 points de part de marché.

• L’hybride, comme en entreprise, affiche sur le marché français une nouvelle progression, avec une part de 12 % à la fin du quatrième trimestre. Sur l’ensemble de l’année 2020, elle gagne 7,2 points de part de marché.

• L’électrique achève bien l’année avec une part de marché de 5,83 % au quatrième trimestre. Sur un an, elle grignote 3,95 points de part de marché.

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Seuls les hybrides tirent leur épingle du jeu au troisième trimestre

(Paris, le 5 octobre 2020)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies? Pour répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le troisième trimestre 2020 marque l’envolée de la demande de véhicules hybrides en entreprise, au détriment de toutes les autres énergies, y compris l’électrique, qui subit pour le second trimestre d’affilée une légère baisse de régime.

• L’essence affiche une part de marché de 18,97 % à la fin du troisième trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. Elle abandonne près de 3,5 points par rapport au début de l’année 2020 et 3,3 points par rapport au T3 2019.

• La part de marché du diesel s’établit à 68,91 % au troisième trimestre. Soit 1,9 point de moins qu’au début 2020 et 2,4 points de moins qu’au T3 2019.

• L’hybride poursuit sa montée en puissance au troisième trimestre, avec une part de marché de 8,32 % en entreprise. En un an, cette motorisation s’adjuge 3,99 points de plus. Par rapport au début 2020 cette motorisation s’adjuge 4,2 points supplémentaires et 4,5 points de plus par rapport au T3 2019.

• Mauvaise passe en revanche pour l’électrique, qui signe un nouveau repli au troisième trimestre avec une part de marché de 3,49 %. Cette motorisation poursuit cependant sa montée en puissance dans les flottes avec 1,2 point de plus par rapport au début de l’année 2020, et par rapport au T3 2019.

 

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au troisième trimestre 2020, le diesel affiche une part de marché de 43,1 %. Ce qui représente un repli de -1,5 point par rapport à la fin 2019 et -1,48 point par rapport au T3 de 2019.

• L’essence rechute après une légère reprise au T2, avec une part de marché de 40,33 % au troisième trimestre. Par rapport au début de l’année 2020, l’essence subit un net déclin de -8,1 points et abandonne -8,5 points par rapport au T3 2019.

• L’hybride, comme en entreprise, affiche sur le marché français une nouvelle progression, avec une part de 10,47 % à la fin du troisième trimestre. Soit 57 points de plus par rapport au début de 2020 et 6 points de plus par rapport au T3 de 2019.

• Comme sur le marché entreprise, l’électrique continue de subir une petite baisse de régime, avec une part de marché de 5,25 %. Par rapport au début de l’année 2020, l’électrique engrange toutefois 3,3 points de plus et 3,4 de plus par rapport au T3 de 2019.

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Les hybrides s'imposent au deuxième trimestre 2020

(Paris, le 7 juillet 2020)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies? Pour répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le second trimestre 2020, bien que marqué par les conséquences de l’arrêt de l’économie lié à la pandémie de Covid-19, conforte la place des motorisations alternatives au sein des parcs automobiles d’entreprise.

• L’essence affiche une part de marché de 19,41 % à la fin du second trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. Elle abandonne 2,9 points sur un an et plus de 3 points par rapport à la fin 2019.

• La part de marché du diesel s’établit à 69,23 % au second trimestre, soit 2,61 points de moins sur un an. Par rapport à la fin de 2019, cette motorisation cède 1,6 point.

• L’hybride poursuit sa montée en puissance au second trimestre, avec une part de marché inédite de 7,36 % en entreprise. En un an, cette motorisation s’adjuge 3,99 points de plus. Par rapport à la fin 2019, elle gagne 3,25 points.

• L’électrique voit en revanche sa part de marché sous la barre des 4 % (à 3,79 %) au second trimestre, ce qui marque une petite décrue par rapport au début de l’année 2019. Cette motorisation poursuit sa progression sur un an, avec 1,45 point de plus et par rapport à la fin de l’année 2019 (+1,49 point).

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au second trimestre 2020, le diesel affiche une part de marché de 43,18 %. Ce qui représente un repli de -1,67 point sur un an et de 1,41 point par rapport à la fin 2019.

• L’essence retrouve un certain dynamisme après son « trou d’air » du premier trimestre 2020, avec une part de marché de 41,62 %. Sur un an, l’essence abandonne malgré tout 7,46 points et 6,81 points par rapport à la fin 2019.

• L’hybride, comme en entreprise, affiche sur le marché français une nouvelle progression qui lui permet d’atteindre une part de marché significative de 9,16 % à la fin du second trimestre. Soit 5 points de plus en un an et + 4,43 points par rapport à la fin de l’année 2019.

• Comme sur le marché entreprise, l’électrique subit un léger fléchissement par rapport au premier trimestre 2020, avec une part de marché de 5,49 %. Sur un an, l’électrique gagne toutefois +3,71 points et +3,61 points par rapport à la fin 2019.  

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Les alternatives en tête au premier trimestre 2020

(Paris, le 3 avril 2020)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies? Pour répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le premier trimestre 2020, malgré son caractère très exceptionnel en raison de la crise sanitaire du Covid-19, traduit peut-être ce qui sera l’évolution de la diversification énergétique en France dans les parcs automobiles au cours des prochains mois. En effet, les motorisations alternatives affichent des parts de marché inédites jusqu’alors.

• L’essence affiche une part de marché de 19,18 % à la fin du premier trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. Sur un an, elle abandonne 2 points de part de marché. La chute est également brutale par rapport à la fin 2019 et est sans doute liée au démarrage du confinement le 17 mars.

• La part de marché du diesel s’établit à 69,62 % au premier trimestre, soit 3,6 points de moins par sur un an. Pas de chute brusque en revanche par rapport à la fin de 2019, mais la poursuite d’une décrue régulière.

• L’hybride enregistre un coup d’accélérateur au premier trimestre, avec une part de marché jamais vue de 6,83 % en entreprise. En un an, cette motorisation double en effet son taux de pénétration,  et par rapport à la fin 2019, elle gagne 2,7 points.

• L’électrique, aussi, connaît une belle progression et termine le premier trimestre avec une part de marché de 4,17 %.  Soit 1,9 point de plus par rapport à la même période de 2019 et 1,8 de plus par rapport à la fin 2019. Comme pour les hybrides, l’électrique  atteint au premier trimestre une part de marché inédite.

 

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au premier trimestre 2020, le diesel affiche une part de marché de 44,65 %. En un an, et pour la première fois depuis un long moment, cette énergie ne subit plus de décrochages brutaux (tant par rapport à la même période de 2019, que par rapport à la fin 2019) et semble avoir atteint un palier en France.

• L’essence est la grande perdante du premier trimestre 2020 et sans doute, de la crise du Covid-19. Sa part de marché de 40,16 % décroche de 8,6 points en un an et de 8,2 points par rapport à la fin 2019.

• L’hybride, comme en entreprise, affiche sur le marché français une jolie progression de 4,8 points en un an, à 8,85 %. La progression est également significative par rapport au dernier trimestre 2019, avec une hausse de 4 points.

• Premier trimestre 2020 faste également pour l’électrique en France, avec une part de marché de 6,12 %. Soit 4,2 points de plus en un an et par rapport à la fin 2019.  

 

 

Baromètre Energies: Bilan Année 2019

(Paris, le 4 février 2020)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies? Pour répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Avec le quatrième trimestre de l’année 2019, vient l’heure du bilan. Comment a évolué la diversification énergétique en France dans les parcs automobiles ?

• L’essence affiche une part de marché de 22,45 % à la fin du quatrième trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. Sur un an, l’essence a gagné 6,4 points de plus de part de marché dans les parcs d’entreprise.

• La part de marché du diesel s’établit à 70,84 % à la fin du quatrième trimestre. La motorisation privilégiée par les entreprises pendant de longues années abandonne 7,7 points par rapport à la fin de l’année 2018.

• L’hybride avance à très petits pas. Sa part de marché s’établit à 4,11 % au troisième trimestre. En un an, la part de marché des hybrides rechargeables et non rechargeables évolue très lentement (+  Toutefois la conquête des parcs automobiles reste timide puisque cette motorisation gagne 0,5 point par rapport à la fin 2018 et 0,6 point supplémentaire par rapport au troisième trimestre 2018.

• L’électrique, aussi, connait une évolution lente dans les entreprises. Au quatrième trimestre, sa part de marché s’établit à 2,30 %. Sur un an, l’électrique a vu son taux de pénétration progresser de 0,21 point.

 

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

 

• Au quatrième trimestre 2019, le diesel a vu sa part de marché s’établir à 44,57 %. En un an, cette énergie a cédé 3,88 points de part de marché en France.

• L’essence affiche une part de marché de 48,43 % à la fin de l’année 2019. Sur un an, elle gagne 2,6 points de part de marché.

• L’hybride, comme en entreprise, avance à petits pas sur le marché national, avec une part de marché de 4,73 % à la fin de l’année 2019. En un an, cette motorisation progresse de 0,66 point seulement.

• L’électrique affiche en fin d’année une part de marché de 1,82 %. Sur un an, l’électrique gagne toutefois 0,4 point de plus.

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Le marché fait une pause au troisième trimestre 

(Paris, le 1er octobre 2019)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Au troisième trimestre de l’année 2019, force est de constater que la diversification énergétique a fait une pause dans les parcs d’entreprises et que les parts des différentes énergies se sont  stabilisées.

 • L’essence affiche une part de marché de 22,33 % à la fin du troisième trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises, soit un niveau très proche de celui du second trimestre. C’est 6,2 points de plus par rapport à la fin de l’année 2018 et 6,9 points supplémentaires par rapport au troisième trimestre 2018.

• La part de marché du diesel s’établit à 71,35 % à la fin du troisième trimestre, contre 71,84 % au second trimestre. La motorisation privilégiée par les entreprises pendant de longues années abandonne 7,1 points par rapport à la fin de l’année 2018 et 8 points par rapport au troisième trimestre 2018. 

• L’hybride creuse lentement son sillon. Sa part de marché avance à 3,37 % au troisième trimestre.  Toutefois la conquête des parcs automobiles reste timide puisque cette motorisation gagne 0,5 point par rapport à la fin 2018 et 0,6 point supplémentaire par rapport au troisième trimestre 2018.

• L’électrique fait aussi sur surplace dans les entreprises, avec une part de marché de 2,34 %, étale par rapport au second trimestre 2019Soit 0,25 point de plus par rapport à la fin 2018 et 0,5 point supplémentaire par rapport au troisième trimestre 2018.

 

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au troisième trimestre 2019, le diesel a contenu son recul sur le marché national par rapport au second trimestre. Sa part de marché s’établit à 44,57 %. C’est toutefois 3,9 points de moins par rapport à la fin 2018 et 4,4 de moins par rapport au troisième trimestre 2018.

• L’essence affiche une part de marché de 48,89 %, en léger repli par rapport au second trimestre, ce qui est une première pour cette énergie. La part de marché de l’essence progresse malgré tout de 3 points par rapport à la fin 2018 ou au troisième trimestre 2018.  

• L’hybride, comme sur le marché entreprise avant très lentement sur le marché national, avec une part de marché de 4,43 % à la fin du troisième trimestre.

• L’électrique voit sa part de marché revenir au niveau du début 2019, à 1,82 %. Sur un an, l’électrique gagne toutefois 0,5 point de plus. 

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Le match essence-diesel s'accélère au second trimestre

(Paris, le 4 juillet 2019)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies répondre à cette question, l’Arval Mobility Observatory (ex-OVE) réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’Arval Mobility Observatory propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le second trimestre de l’année 2019 marque une nouvelle accélération de la diversification énergétique dans les parcs d’entreprise.

• L’essence affiche désormais une part de marché de 22,31 % à la fin du second trimestre pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. C’est 6,2 points de plus par rapport à la fin de l’année 2018 et 7,7 points supplémentaires par rapport au second trimestre 2018.

• Le diesel continue de céder du terrain dans les entreprises.  Sa part de marché s’établit à 71,84 % à la fin du second trimestre, soit 6,68 points de moins qu’à la fin 2018. La motorisation autrefois « reine » des parcs abandonne 8,7 points par rapport au second trimestre 2018.

• L’hybride avance à très petits pas dans les entreprises au second trimestre. Sa part de marché s’établit à 3,37 %, soit 0,14 point de plus par rapport à la fin de l’année dernière et 0,37 point supplémentaire par rapport au second trimestre 2018.

• Enfin l’électrique revendique une part de marché de 2,34 % au second trimestre. Soit 0,25 point de plus par rapport à la fin 2018 et 0,64 point supplémentaire par rapport au second trimestre 2018.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national

• Au second trimestre 2019, la part de marché du diesel a poursuivi sa chute à 44,85 %. C’est 3,6 points de moins par rapport à la fin 2018 et 4,6 de moins par rapport au second trimestre 2018.

• L’essence fait désormais quasi jeu égal avec le diesel, puisque sa part de marché au second trimestre s’inscrit à 49,08 %, soit 3,2 points de plus qu’à la fin 2018 et 3,7 de plus par rapport au second trimestre 2018.  

• L’hybride, comme sur le marché entreprise fait du surplace, avec une part de marché de 4,13 % à la fin du second trimestre.

• L’électrique a connu une baisse de régime au second trimestre par rapport au début de l’année, avec une part de marché de 1,78 %. Sur un an, l’électrique gagne toutefois 0,52 point de plus.

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L'essence grande gagnante du 1er trimestre 2019

(Paris, le 2 avril 2019)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le premier trimestre de l’année 2019 marque une accélération de la diversification énergétique dans les parcs d’entreprise.

• L’essence affiche une part de marché de 21,19 % à la fin du premier trimestre 2019 pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. C’est 5 points de plus par rapport à la fin de l’année 2018. Soit plus que ce que cette énergie avait gagné sur l’ensemble de l’année 2018 (4,52 points).

• Le diesel continue de perdre du terrain dans les entreprises.  Sa part de marché s’établit à 73,26 % à la fin du premier trimestre 2019, soit 5,2 points de moins qu’à la fin 2018. Pour rappel, la motorisation autrefois « reine » des parcs a cédé 6 points sur l’ensemble de l’année 2018.

• L’hybride a fait du sur-place dans les entreprises au premier trimestre. Sa part de marché s’est même très légèrement émoussée par rapport à la fin de l’année dernière, à 3,18 %.

• Enfin l’électrique continue d’avancer à très petits pas dans les parcs d’entreprise, avec une part de marché de 2,23 % au premier trimestre 2019. Soit 0,14 point de plus qu’à la fin de l’année dernière. Sur l’ensemble de 2018, les voitures électriques avaient gagné 0,6 point de plus de part de marché.

Ce qu’il faut retenir sur le marché national

• Au premier trimestre 2019, la part de marché du diesel a poursuivi sa chute à 45,06 %. C’est 3,4 points de moins par rapport à la fin 2018. Sur l’ensemble de l’année 2018, pour mémoire, le repli de cette motorisation avait atteint 7,7 points.

• Le grand bénéficiaire de la désaffection des ménages et des entreprises pour le gazole reste l’essence. Sur le premier trimestre 2019, cette énergie revendique désormais une part de marché de 48,45 %, soit 3 points de plus en l’espace de trois mois. Sur l’ensemble de l’année 2018, l’essence avait gagné 6 points de part de marché supplémentaires.

• L’hybride, comme sur le marché entreprise stagne à l’échelle nationale. Sa part de marché atteint 4,05 % au premier trimestre 2019.

• L’électrique a connu une petite embellie au premier trimestre, avec une part de marché de 1,86 %, soit 0,37 point de plus qu’à la fin de l’année 2018. C’est un peu plus que ce que cette énergie avait gagné, en un an, en 2018 (0,28 point).

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Baromètre énergies: Bilan Année 2018

(Paris, le 7 janvier 2019)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Le quatrième trimestre et l’ensemble de l’année 2018 confirment que la diversification énergétique est en marche dans les parcs automobiles d’entreprise.

• L’essence affiche une part de marché de 16,03 % à la fin du quatrième trimestre 2018 pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. Sur l’ensemble de l’année 2018, cette énergie s’est arrogée 4,52 points de plus.

• Le diesel n’a cessé de perdre du terrain dans les entreprises l’année dernière. Avec une part de marché de 78,52 % à la fin du quatrième trimestre, la motorisation autrefois « reine » des parcs, a cédé 6 points en l’espace d’un an, franchissant pour la première fois la barre des 80 %.

• L’hybride a redressé la barre en 2018, malgré la disparition de toutes les aides à l’achat. Sa part de marché s’établissait à 3,23 % à la fin de l’année, soit 0,89 point de plus qu’il y a un an.

• Enfin l’électrique avance à très petits pas dans les parcs d’entreprise, avec une part de marché qui a franchi le cap des 2 % au quatrième trimestre 2018. Sur un an, les voitures électriques gagnent 0,6 point de plus de part de marché.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national

• Au quatrième trimestre 2018, la part de marché du diesel a eu tendance à se stabiliser à un niveau bas de 48,47 %. En un an, le repli de cette motorisation atteint 7,7 points, ce qui est un record historique.

• Le grand bénéficiaire de la désaffection des ménages et des entreprises pour le gazole reste l’essence. Cette énergie revendique à la fin 2018 une part de marché de 45,82 %, ce qui représente 6 point de plus en un an.

• L’hybride regagne du terrain avec 4,07 % au quatrième trimestre. C’est 0,87 point de plus par rapport au début de l’année 2018.

• Quant à l’électrique, elle peine toujours à décoller véritablement sur le marché national, avec une part de marché de 1,49 % au quatrième trimestre. En un an cette énergie n’a grappillé que 0,28 point de plus, alors que les constructeurs mobilisent tous leurs investissements en sa faveur.

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Baromètre énergies: le diesel poursuit sa décroissance au 3eme trimestre

(Paris, le 9 octobre 2018)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu'il faut retenir sur le marché entreprises

Trimestre après trimestre, la recomposition du mix-énergétique s’accélère dans le parc des entreprises. C’est une nouvelle fois le cas au troisième trimestre 2018.

• L’essence affiche une part de marché de 15,40 % à la fin du troisième trimestre 2018 pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. C’est 4,2 points de plus qu’au troisième trimestre 2017 et 1,2 point de plus par rapport au premier trimestre 2018.

• Le diesel continue de subir la désaffection des gestionnaires de parcs. Avec une part de marché de 79,50 % au troisième trimestre, il abandonne 5,5 points par rapport au troisième trimestre 2017, et 1,4 point par rapport au premier trimestre 2018.

• L’hybride fait son chemin petit à petit dans les parcs d’entreprise, avec une part de marché de 3,10 % à la fin du troisième trimestre 2018 (stable par rapport au premier trimestre 2018) et 0,8 point de plus par rapport à la même période de 2017.

• Enfin l’électrique grignote très lentement des parts de marché, avec 1,8 % à la fin du troisième trimestre 2018. C’est 0,4 point de plus qu’au troisième trimestre 2017 et 0,1 point de plus par rapport au début de l’année 2018.

 

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au troisième trimestre 2018, le décrochage du diesel a eu tendance à s’accélérer sur le marché national : -0,95 point par rapport au premier trimestre 2018. Par rapport à la même période de 2017, le repli est de 6,95 points, avec une part de marché de 49,05%.

• L’essence profite toujours de cette désaffection, avec une part de marché de 45,78 % en France. C’est 1,08 point de plus qu’au premier trimestre 2018 et 6,15 points supplémentaires par rapport à la même période de 2017.

• L’hybride reprend des couleurs avec une part de marché de 3,88 %, soit 0,08 point de moins par rapport au premier trimestre 2018, mais 0,81 point de plus par rapport  à la même période de 2017.

• Quant à l’électrique, elle peine toujours à décoller avec une part de marché de 1,29 % au troisième trimestre 2018, soit 0,08 point de plus qu’à la même période de 2017, mais 0,09 point de moins par rapport au premier trimestre de cette année. 

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Baromètre Energies :  la diversification se poursuit au 2ème trimestre 2018

(Paris, le 11 juillet 2018)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

Les entreprises continuent de privilégier les énergies alternatives dans leurs parcs automobiles. Du coup, la recomposition du mix-énergétique s’est poursuivie au cours du second trimestre 2018, mais à un rythme plus modéré par rapport au début de l’année.

• L’essence affiche une part de marché de 14,60 % à la fin du second trimestre 2018 pour les VP et les VUL immatriculés par les entreprises. C’est 3,3 points de plus qu’au second trimestre 2017 et 0,4 point de plus par rapport au premier trimestre 2018.

• Le diesel subit la désaffection des gestionnaires de parcs, sans pour autant connaître un effondrement d’un trimestre à l’autre. La motorisation reine en entreprise abandonne certes 4,5 points par rapport au second trimestre 2017, mais seulement 0,3 point par rapport au premier trimestre 2018, avec une part de marché de 80,60 %.

• L’hybride reste stable avec une part de marché de 3 % à la fin du second trimestre 2018 (-0,1 point par rapport au premier trimestre 2018) et 0,9 point de plus par rapport à la même période de 2017.

• Enfin l’électrique avance toujours à petits pas, avec une part de marché de 1,7 % à la fin du second  trimestre 2018. C’est 0,4 point de plus qu’au second trimestre 2017.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national

• Au second trimestre 2018, le décrochage du diesel a eu tendance à ralentir : -0,47 point par rapport au premier trimestre 2018. Mais rapport à la même période de 2017, le repli est de 6,54 points, avec une part de marché de 49,53 %.

• C’est l’essence qui profite une nouvelle fois de la désaffection des consommateurs pour le diesel. Cette énergie affiche une part de marché de 45,37 % en France. Soit 0,67 point de plus qu’au premier trimestre 2018 et 5,6 points supplémentaires par rapport à la même période de 2017.

• L’hybride a subi un petit coup d’arrêt avec une part de marché de 3,70 %, soit 0,10 point de moins par rapport au premier trimestre 2018, mais 0,79 point de plus par rapport  à la même période de 2017.

• Quant à l’électrique, elle peine toujours à décoller avec une part de marché de 1,26 % au second trimestre 2018, soit 0,12 point de moins qu’au premier trimestre de cette année.  

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Baromètre Energies :  l'essence s'impose au 1er trimestre 2018

(Paris, le 9 avril 2018)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

La recomposition du mix-énergétique en entreprise s’est accélérée au cours du premier trimestre 2018.

• L’essence grignote des parts de marché et s’affiche de plus en plus comme l’alternative au diesel dans les parcs automobiles des entreprises. A la fin du 1er trimestre 2018, l’essence représente en effet 14,20 % des VP et VUL immatriculés en entreprise. Soit 2,69 points de plus qu’à la fin 2017 et 3,9 points de plus qu’au premier trimestre 2017.

• Après de nombreux mois de résistance, le diesel commence à subir la désaffection des gestionnaires de parcs. La motorisation reine en entreprise (en raison d’une fiscalité et de qualités intrinsèques très favorables pour les conducteurs) abandonne 3,66 points sur les trois premiers mois de 2018 et 5,1 points par rapport au premier trimestre 2017.  Sa part de marché ressort à 80,90 %.

• L’hybride, malgré la disparition totale des aides à l’achat, poursuit sa remontée et affiche une part de marché de 3,10 % à la fin du premier trimestre. Soit 0,7 point de plus par rapport à la fin de l’année 2017 et au premier trimestre 2017.

• Enfin l’électrique avance à petits pas, avec une part de marché de 1,7 % à la fin du premier trimestre 2017. C’est 0,23 point de plus qu’à la fin 2017 et 0,4 point supplémentaire par rapport au premier trimestre 2017.

 

Ce qu'il faut retenir sur le marché national

• Au premier trimestre 2018, les évolutions du mix-énergétique  sur le marché automobile national font apparaître un net décrochage du diesel par rapport au quatrième trimestre 2017 : -5,64 points. La chute est également significative par rapport au premier trimestre 2017 : -5,69 points. A la fin du premier trimestre, la part du diesel ressort à 50 % sur le marché français.

• Cette nouvelle chute du diesel profite largement à l’essence, qui affiche désormais une part de marché de 44,70 % en France. En trois mois, l’essence s’est arrogée 4,88 points et plus de 5 points par rapport à la même période de 2017.

• L’hybride profite aussi d’une embellie sur le marché national, avec une part de marché de 3,80 %. C’est 0,58 point de plus par rapport à la fin 2017 et 0,51 de plus par rapport au premier trimestre 2017.

• La seule énergie à ne pas évoluer est l’électrique. Les immatriculations de VP et de VUL électriques progressent moins vite sur le marché national que dans les entreprises puisque la part de marché s’établit à 1,38 %, soit 0,17 point de plus qu’au dernier trimestre 2017 et 0,04 de plus qu’au premier trimestre 2017.

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Baromètre Energies: Bilan Année 2017

(Paris, le 30 janvier 2018)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché entreprises

• Au dernier trimestre 2017, les énergies alternatives ont poursuivi leur montée en puissance au sein des flottes d’entreprise. L’électrique a achevé l’année avec une part de marché de 1,47 %, soit 0,27 point de plus qu’au quatrième trimestre 2016 et 0,07 point de plus qu’au troisième trimestre.

• Les hybrides aussi vont mieux. Leur part de marché s’établit à 2,34 % au quatrième trimestre 2017, contre 1,93 % à la même période de 2016, soit une progression de 0,37 point.

• Sur le front des énergies thermiques, l’essence gagne 1,21 point de part de marché au quatrième trimestre 2017 par rapport au quatrième trimestre 2016, à 11,51 %. Sur trois mois, la hausse est de 0,31 point.

• Quant au diesel, il cède petit à petit du terrain, même si sa domination reste forte à 84,56 % dans les entreprises. En un an, par rapport au quatrième trimestre 2016, cette motorisation abandonne 1,43 point. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national

• Au quatrième trimestre 2017, les évolutions du mix-énergétique sur le marché national font apparaître une stagnation de l’électrique, avec une part de 1,21 %. Ce chiffre est stable par rapport au troisième trimestre 2017 et en progression minime de 0,08 point par rapport au quatrième trimestre 2016.

• Les hybrides clôturent l’année 2017 avec une part de marché de 3,22 %. Soit 0,8 point de plus par rapport à la même période de 2016 et 0,15 de plus par rapport troisième trimestre 2017.

• L’essence affiche la plus forte progression de toutes les énergies, avec une part de marché de 39,82 % au quatrième trimestre 2017 et 3,12 points de plus par rapport au quatrième trimestre 2016.

• Sur le marché automobile national, le grand perdant reste le diesel, avec une part de marché de 55,64 % au quatrième trimestre 2017 et 4 points de moins par rapport à la même période de 2016.

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Les énergies alternatives avancent lentement dans les parcs au 3e trimestre 2017

(Paris, le 23 octobre 2017)

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

Ce qu’il faut retenir sur le marché des entreprises

• C’est le statu quo sur le front des énergies thermiques au troisième trimestre 2017 sur le marché du véhicule d’entreprise. L’essence affiche une part de marché de 11,20 % au troisième trimestre 2017 : soit 0,43 point de plus qu’au troisième trimestre 2016, mais 0,1 point de moins qu’au second trimestre 2017. 

• Le diesel, traditionnellement très demandé par les gestionnaires de parcs d’entreprise, conserve sa position dominante avec 85 % de part de marché, soit 0,1 point de moins qu’au second trimestre 2017. Son érosion se poursuit par rapport à la même période de 2016, avec un recul de 1,08 point.

• La conjoncture s’améliore pour l’hybride, qui reprend des couleurs en entreprise. Sa part de marché atteint 2,3 % au troisième trimestre 2017, soit 0,4 point de plus qu’au troisième trimestre 2016 et 0,2 point par rapport au second trimestre 2017.

• L’électrique, de son côté, poursuit lentement sa progression en entreprise. Sa part de marché s’établit à 1,4 %, soit 0,24 point de mieux sur le troisième trimestre 2016 et 0,1 point de plus par rapport au second trimestre 2017.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national

• Le constat qui vient d’être fait sur le marché entreprise vaut aussi pour le marché automobile national au troisième trimestre 2017. L’essence fait du sur-place par rapport au second trimestre 2017, abandonnant 0,14 point. Mais cette énergie gagne 3 points par rapport à la même période de 2016, avec au total une part de marché de 39,63 %.

• Quant au diesel, après avoir fait l’objet pendant plusieurs mois de la désaffection des ménages, il stabilise sa part de marché. Certes il perd 3,89 points par rapport au troisième trimestre 2016, mais sa part de marché de 56 %, à la fin du troisième trimestre 2017, est quasiment équivalente à celle du second trimestre (56,07 %).

• Ce sont les énergies alternatives qui profitent d’une forme d’embellie. L’hybride gagne 0,78 point par rapport au troisième trimestre 2016, à 3,07 % de part de marché. Cette motorisation progresse également de 0,16 point par rapport au second trimestre 2017.

• La progression est plus lente sur le front de l’électrique. Cette énergie a gagné 0,1 point de part de marché par rapport à la même période de 2016 et 0,03 point par rapport au second trimestre 2017. A la fin du troisième trimestre 2017, la part de marché des véhicules électriques s’établit à 1,21 % en France.

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(Paris, le 19 juillet 2017)

 

L'essence prend ses marques dans les entreprises au second trimestre 2017

 

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

 

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du Véhicule d’Entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché des entreprises

 

• Le deuxième trimestre 2017 marque le redécollage progressif de l’essence dans les flottes d’entreprise. La part de marché de cette énergie s’établit à 11,30 %, soit 0,34 point de plus par rapport au second trimestre 2016, et un point de plus par rapport au premier trimestre 2017. L’entrée en vigueur de la déductibilité progressive de la TVA sur l’essence (10 % en 2017) commence peut-être à intéresser les gestionnaires de parcs, notamment ceux dont les collaborateurs effectuent des trajets inférieurs à 20 000 kms par an. Cette croissance de l’essence reste à être confirmée dans les prochains mois, sachant que la déductibilité de la TVA s’applique de façon progressive (sur cinq ans) et qu’elle ne concernera les véhicules utilitaires qu’à partir de 2018.

• Le diesel fait les frais de cet intérêt renforcé pour l’essence. Sa part de marché perd un peu moins d’un point par rapport au premier trimestre 2017 et 0,8 point par rapport au 2eme trimestre 2016. C’est le premier coup d’arrêt significatif depuis un an. Cette motorisation reste toutefois largement majoritaire dans les parcs d’entreprise, en raison notamment de la bonne conjoncture du VUL  (un segment de marché où le diesel est ultra dominant). 

• Trimestre décevant pour l’hybride, qui cède à nouveau du terrain après quatre trimestres en légère progression. Sa part de marché cède 0,3 point à 2,10 %. Cette motorisation est toujours pénalisée par la baisse des aides publiques à l’achat et une utilisation compliquée en entreprise. 

• Stabilité pour l’électrique, dont la part de marché de 1,30 % n’a pas évolué au cours du second trimestre par rapport au premier. Cette motorisation gagne 0,15 point de part de marché en un an. 

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché automobile global

 

• L’essence a poursuivi, mais à un rythme moins rapide, son ascension sur le marché automobile national. Cette motorisation gagne un tout petit 0,16 point de part de marché sur trois mois, mais 3,24 points par rapport au second trimestre 2016. Au final, la part de marché de l’essence s’établit à 39,77 % sur le marché automobile français.

• Le diesel, qui fait les frais depuis plusieurs trimestres de la désaffection des ménages, a vu sa décrue s’interrompre au second trimestre 2017, avec une part de marché de 56,07 %, soit 0,38 point de plus qu’au premier trimestre 2017. Sur un an toutefois, le repli est sévère puisqu’il atteint 3,95 points.

• Très appréciés des ménages, les véhicules hybrides ont marqué un coup d’arrêt au second trimestre 2017 par rapport au début d’année. La part de marché s’inscrit à 2,91 %, soit 0,38 point de moins qu’au premier trimestre et 0,68 point de plus par rapport à la même période de 2016.

• Les motorisations électriques subissent, elles aussi, un petit « coup de mou » au deuxième trimestre, avec une part de marché qui fait du sur-place à 1,18 %.

Les annonces de Nicolas Hulot, le ministre de l’Ecologie sur la fin des véhicules thermiques en France à horizon de 2040, donneront peut-être un coup d’accélérateur à l’électrique, voire à l'hybride rechargeable,  dans les prochains mois, même si la date-butoir fixée par l’Etat est encore lointaine.

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(Paris, le 25 avril 2017)

 

L'essor de l'essence se fait attendre au 1er trimestre 2017

 

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

 

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du véhicule d’entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période, tant en VP qu'en VUL. 

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché des entreprises :

 

 

• Au premier trimestre 2017, malgré les mesures prises par les pouvoirs publics en faveur de la déductibilité de la TVA sur l’essence, les entreprises sont restées à l’écart de cette énergie. Il est vrai qu’avec une déductibilité de 10 % en 2017, la mesure n’a rien de très attractive. Il faudra attendre pour analyser les conséquences réelles de cette disposition en raison de ses règles d’application et de sa progressivité (sur cinq ans). Résultat, l’essence a enregistré au premier trimestre 2017 une nouvelle baisse de sa part de marché à 10,30 %. Par rapport au premier trimestre 2016, l’essence a perdu 1,33 point.

• Au premier trimestre 2017, le diesel reste très demandé par les entreprises, avec une part de marché stable de 86 %. Par rapport au premier trimestre 2016, qui était particulièrement dynamique en termes d’immatriculations, cette motorisation a gagné 1,11 point de part de marché. Cette situation est sans doute liée au fait que le marché VP en entreprise a marqué le pas au premier trimestre 2017, avec un repli de 6,7 %, alors que c’est celui qui bascule le plus rapidement vers l’essence compte tenu de l’offre des constructeurs.  A l’inverse, le marché VUL qui a bien progressé au premier trimestre (8,1 %), et qui est très majoritairement orienté vers le diesel.

• Le premier trimestre 2017 est synonyme de rebond pour le marché de l’hybride, qui retrouve presque sa part de marché du premier trimestre 2016, alors que l’année dernière avait été compliquée, avec des aides à l’achat réduites comme peau de chagrin. La part de marché de l’hybride s’établit à 2,40 %, avec des ventes en hausse tant sur l’hybride rechargeable (3,4 %) que non rechargeable (1,1 %).

•  L’électrique atteint pour la première fois la barre de 1,30 % de part de marché, ce qui constitue à ce jour un record dans le monde de l’entreprise. Par rapport au premier trimestre 2016, l’électrique gagne 0,22 point. Même si le nombre des immatriculations reste limité (2 525 unités), l’intérêt des gestionnaires de parcs semble se développer. La nouvelle ZOE, qui affiche une autonomie réelle de 300 km, n’est peut-être pas étrangère à ce phénomène.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national global : 

 

 

• Les motorisations  essence poursuivent leur montée en puissance sur le marché national. Elles atteignent même un plus haut historique au premier trimestre 2017 avec 39,61 % de part de marché sur les VP et les VUL.  Une fois de plus les évolutions sont radicalement différentes entre le marché entreprise et le marché national. Par rapport au premier trimestre 2016, l’essence gagne plus de trois points de part de marché.

• Le diesel a poursuivi sa descente sur le marché automobile au premier trimestre 2017, avec 55,69 % du total des immatriculations. C’est 3,72 points de moins qu’il y a un an. Sur le seul segment des VP, la part de marché du diesel est passé au mois de mars sous la barre des 50 %, à 47,4 %.

• Evolution à la hausse pour les hybrides, dont la part de marché s’établit à 3,29 % à la fin du premier trimestre 2017, soit 0,53 point de plus par rapport au premier trimestre 2016. Malgré la baisse des bonus à l’achat, les ventes de VP hybrides sont en progression de 25,8 % sur la période par rapport à 2016 (avec un total de 21 290 unités).

• Les immatriculations de véhicules électriques ont représenté 1,34 % du total du marché français, soit 0,16 point de plus par rapport à la même période de 2016. Quant aux ventes de VP électriques, elles progressent de 23 % sur un an (avec un total de 7 402 unités). 

 

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(Paris, le 16 janvier 2017)

 

Baromètre Energies: 2016, un tournant dans l'équilibre Essence/Diesel

 

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

 

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du véhicule d’entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations sous l’angle de la répartition par énergies.

Et pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période.

A  noter que notre Baromètre Energies évolue en ce début d’année : l’OVE analyse ici l’ensemble des immatriculations, c’est-à-dire VP + VU (et plus seulement VP comme précédemment).

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché des entreprises :

 

 

• En 2016, les motorisations essence représentent 10,77 % des immatriculations en entreprise. Avec une progression de 1,8 point par rapport à 2015, l’essence occupe donc une place grandissante au sein des flottes, mais qui a tendance à se stabiliser en fin d'année.

• La part des immatriculations diesel a chuté de manière spectaculaire au 1er trimestre 2016 (84,89 %), et malgré un regain d’énergie au 2ème trimestre (85,94 %), l’année s’achève sur une part de marché de 85,99 % au 4ème trimestre. Sur un an, la part de diesel perd 1,36 point.

• La part des véhicules hybrides recule au sein des flottes d’entreprise en 2016 : les immatriculations chutent aux premier et deuxième trimestres, et perdent 0,6 points sur l’année, à 1,93 % de part de marché.

• L’électrique reste confidentiel, ne gagnant que 0,18 points de part de marché en 2016, à 1,20 %.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché national global : 

 

 

• Les motorisations essence ont occupé une place grandissante dans les immatriculations de véhicules en 2016. Après une forte hausse au premier trimestre, la part de marché s’est stabilisée le reste de l’année aux alentours de 36 %. En 2016, la part des immatriculations essence enregistre une hausse de 4,25 points par rapport à 2015, à 36,70 %. 

• Au premier trimestre 2016, la part des immatriculations diesel s’effondre à 59,41 %, et termine l’année à 59,66 %. 

• Du côté des hybrides, malgré une reprise au milieu de l’année 2016, la part des immatriculations reste en retrait de 0,28 point par rapport à l’année 2015, à 2,42 %.

• Les immatriculations de véhicules électriques restent quant à elle marginales, avec une part de marché 1,13 % à fin décembre 2016.

 

A noter que compte tenu de l'évolution globale du marché (hausse de 8,1 % des immatriculations VP+VU en 2016), toutes les catégories de véhicules sont en hausse, à l'exception de l'hybride.

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(Paris, le 7 octobre 2016)

Baromètre Energies: le diesel garde le contact au 3ème trimestre 2016

Quels sont les choix opérés par les gestionnaires de flotte en matière d’énergies ?

Pour répondre à cette question, l’Observatoire du véhicule d’entreprise réalise chaque trimestre une analyse des immatriculations des véhicules particuliers sous l’angle de la répartition par énergies.

Et pour élargir les perspectives, l’OVE propose également de suivre l’évolution du marché national global, qui prend en compte toutes les immatriculations réalisées en France sur la même période.

 

Ce qu’il faut retenir sur le marché des entreprises :

  • Au troisième trimestre 2016, la part des immatriculations de véhicules particuliers essence poursuit sur la même tendance qu’au trimestre précédent, à savoir une lente érosion. L’essence représente en effet 17,1 % des immatriculations en entreprise au  3T2016, contre 17,4 % au 2T2016.
  • De son côté, le diesel reprend des couleurs, avec 78,8 % des immatriculations VP au 3T2016, contre 78,5 % au 2T2016.
  • Après deux trimestres consécutifs à la baisse, la part des immatriculations hybrides se stabilise à 3,1 % des immatriculations.
  • L’électrique, quant à lui, bute encore sous la barrière des 1 %, avec 0,94 % des immatriculations en entreprise.

Ce qu’il faut retenir sur l’ensemble du marché français (particuliers et entreprises) :

  • Sur le marché français, l’essence poursuit sa consolidation à 43,6 % des immatriculations au 3T2016.
  • Avec 52,5 % des immatriculations au 3T2016, le diesel ne concède que quelques dixièmes de point par rapport au 2T2016 (52,8 %).
  • La part des immatriculations hybrides remonte à 2,73 % au 3T2016 contre 2,65 % au 2T2016.
  • L’électrique diminue de 0,05 point à 1,07 % au 3T2016.

 

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Baromètre Energies : le diesel regagne du terrain au 2ème trimestre 2016

(Paris, le 8 juillet 2016)

 

Répartition des énergies Essence, Diesel, Hybride et Electrique dans les immatriculations de voitures particulières sur le marché des entreprises en France

Ce qu’il faut retenir :

 

  • Au 1er trimestre 2016, la part des immatriculations de véhicules particuliers essence en entreprises avait bondi à 18,1%. Au 2ème trimestre, cette part est en retrait de 0,7 point à 17,4 %.
  • La surprise vient du diesel qui regagne du terrain au 2ème trimestre pour atteindre 78,5 %. Cette hausse de 1,4 point s’inscrit après une baisse de 3,5 points au premier trimestre (pour atteindre 77,1%).
  • L’hybride s’incline pour le deuxième trimestre consécutif : cette énergie perd 1,2 point et représente maintenant 3,1 % des immatriculations VP. Un niveau pratiquement semblable à celui atteint à la fin de l’année 2014 (2,9 %).
  • L’électrique gagne quant à lui 0,05 point de part de marché au deuxième trimestre, à 0,97%. L’électrique passera-t-il le seuil de 1% au prochain trimestre ?

 

Répartition des énergies Essence, Diesel, Hybride et Electrique dans les immatriculations de voitures particulières sur l’ensemble du marché français (particuliers et entreprises)

 

 

  • En hausse depuis le début de l’année 2015, la part des véhicules particuliers essence stagne au 2ème trimestre 2016, à 43,4 %.
  • Après une longue baisse de sa part de marché, le diesel inverse la tendance au 2ème trimestre 2016 avec 52,8 % de part de marché.
  • La part des hybrides et des électriques fléchit au 2ème trimestre, pour atteindre respectivement 2,7 % et 1,12 % du marché.

 

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(Paris, le 13 avril 2016)

Baromètre Energies au 1er trimestre 2016 : l’essence se renforce au détriment du diesel

 

Répartition des énergies Essence, Diesel, Hybride et Electrique dans les immatriculations de voitures particulières sur le marché des entreprises en France

Ce qu’il faut retenir :

  • Après trois trimestres de baisse, le premier trimestre 2016 marque une nette hausse de la part de l’essence dans les flottes d’entreprise. Cette énergie gagne 3,8 points à 18,1%, sous l’effet combiné de la nouvelle fiscalité et des nouvelles gammes des constructeurs, plus orientées essence.
  • Le diesel perd quant à lui 3,5 points au premier trimestre, à 77,1% des immatriculations. Le durcissement de la fiscalité (hausse de 3,5 centimes d’euro sur le diesel au 1er janvier 2016), conjugué aux perspectives d’une règlementation plus contraignante sur la circulation en centre-ville et en cas de pic de pollution, semble avoir un effet dissuasif sur les ventes. Rappelons toutefois que, du point de vue des entreprises, la déductibilité de la TVA reste un atout en faveur du diesel, en particulier pour les gros rouleurs (+ de 18 000 km par an). Un facteur qui explique que la part de diesel est bien plus forte en entreprise que sur le marché français au global (52,2% des immatriculations).
  • L’hybride voit reculer sa part à 3,8% au premier trimestre, alors que l’électrique se renforce mais reste sous le seuil symbolique des 1% (avec 0,92% des immatriculations).

 

Répartition des énergies Essence, Diesel, Hybride et Electrique dans les immatriculations de voitures particulières sur l’ensemble du marché français (particuliers et entreprises)

Ce qu’il faut retenir :

  • L’essence accélère sa progression au 1er trimestre 2016, pour atteindre 43,3% des immatriculations.
  • Le diesel accentue fortement sa baisse au 1er trimestre : sa part chute à 52,2% des immatriculations.
  • L’hybride poursuit sa lente progression à 3,3% au 1er trimestre, tout comme l’électrique qui atteint 1,17% des immatriculations.