(Paris, le 20 janvier 2025)
Renault maintient le cap en 2024 dans un marché morose
Sur un marché du véhicule d’entreprise en repli de - 4,8 % en 2024, la marque Renault a conservé la tête du palmarès des constructeurs, avec une part de marché de 23,4 % (contre 23,7 % un an plus tôt). Ses ventes sont, elles, en recul de - 5,60% (185 408 VP + VUL).
Pas de changement pour les autres places du podium : Stellantis, avec Peugeot (18,1%) et Citroën (9%), complète le podium.
Quatorze marques présentent des bilans commerciaux en baisse sur le marché entreprise au titre de l’exercice 2024 ; elles n’étaient que deux en 2023, mais 16 en 2022. Parmi elles, Tesla avec une part de marché de 1,7 % (- 0,3 point) et des ventes en chute de -19,7 % (13 155 unités). Autre déconvenue, Audi, dont les ventes reculent de - 2,56 % (18 702 unités). Dans la galaxie Stellantis, Peugeot (- 7,62 % à 143 267 unités), Citroën (- 14,89 % à 71 500 unités), DS (- 35,44 % à 5 211 ventes) ou encore Opel (- 23,11 % avec 14 214 unités) engrangent une année médiocre.
A l’inverse, c’est une bonne année pour Toyota, qui gagne deux points de part de marché (5,7 %) avec des ventes en hausse de + 45,22 % (44 998 VP + VUL). Skoda progresse également avec 20 664 unités (+ 3,95 %), tout comme Cupra (+ 23,69 % à 7 754 unités). Année réussie aussi pour BMW, dont les ventes aux entreprises augmentent de + 2,11 % à 32 292 unités, pour une part de marché de 4,1 % (+ 0,3 point en un an).
Sur un marché du véhicule d’entreprise en repli de - 4,8 % en 2024, la marque Renault a conservé la tête du palmarès des constructeurs, avec une part de marché de 23,4 % (contre 23,7 % un an plus tôt. Ses ventes sont, elles, en recul de - 5,60% (185 408 VP + VUL).
Pas de changement pour les autres places du podium : Stellantis, avec Peugeot (18,1%) et Citroën (9%), complète le podium.
Quatorze marques présentent des bilans commerciaux en baisse sur le marché entreprise au titre de l’exercice 2024 ; elles n’étaient que deux en 2023, mais 16 en 2022. Parmi elles, Tesla avec une part de marché de 1,7 % (-0,3 point) et des ventes en chute de - 19,7 % (13 155 unités). Autre déconvenue, Audi, dont les ventes reculent de - 2,56 % (18 702 unités). Dans la galaxie Stellantis, Peugeot (- 7,62 % à 143 267 unités), Citroën (- 14,89 % à 71 500 unités), DS (- 35,44 % à 5 211 ventes) ou encore Opel (- 23,11 % avec 14 214 unités) engrangent une année médiocre.
A l’inverse, c’est une bonne année pour Toyota, qui gagne deux points de part de marché (5,7 %) avec des ventes en hausse de + 45,22 % (44 998 VP + VUL). Skoda progresse également avec 20 664 unités (+ 3,95 %), tout comme Cupra (+ 23,69 % à 7 754 unités). Année réussie aussi pour BMW, dont les ventes aux entreprises augmentent de + 2,11 % à 32 292 unités, pour une part de marché de 4,1 % (+ 0,3 point en un an).
Les marques chinoises étaient très attendues (et craintes) sur le marché automobile français. Pour l’instant, force est de constater que leur expansion reste timide. Les règles mises en place en Europe et en France pour contenir leur croissance, y sont sans doute pour quelque chose. Sur le segment des entreprises, sept marques sont désormais présentes, avec des performances, là encore, limitées.
Selon les calculs de l’Arval Mobility Observatory, il s’est immatriculé l’année dernière 4 539 VP et VUL chinois dans les entreprises, contre 3 199 unités en 2023 et 1 136 en 2022.
Même taxées ou privées de bonus, les marques chinoises font de la France un de leurs marchés privilégiés. Quatre marques étaient d’ailleurs présentes sur le marché entreprise en 2022, six en 2023 et sept en 2024.
En termes de croissance, c’est toujours MG, malgré une baisse, qui fait la course en tête, avec 1 761 immatriculations contre 1 843 en 2023. BYD monte à la deuxième place avec une croissance significative, 1 744 immatriculations en 2024 contre 141 l’année précédente.
Si la marque Aiways a disparu des radars du marché entreprise l’année dernière, deux marques ont à l’inverse fait leur entrée : XPeng (125 immatriculations) et le spécialiste des VUL, Maxus (657 unités).
Même limitées, il faudra continuer à surveiller dans les prochains mois les performances des marques chinoises, dans la mesure où certaines d’entre elles (MG et BYD notamment) ne commercialisent pas que des modèles 100 % électriques, mais se diversifient dans les hybrides. En outre, leur réseau commercial est toujours en cours de construction.
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(Paris, le 9 juillet 2024)
Renault fait la course en tête au S1 2024
Sur un marché du véhicule d’entreprise qui peine à trouver son rythme de croissance depuis le début de l’année, Renault conserve sa première place, avec une part de marché de 23,8 % et des immatriculations en progression de 2,96 % (98 216 VP + VUL). Son rival Stellantis n’est pas dans la même situation, ayant cédé au cours du premier semestre 3 points de part de marché, à 16,9 %), tandis que ses immatriculations chutent de 13,05 % (69 490 VP + VUL).
Parmi les évolutions les plus notables, Toyota réintègre le Top 5, en lieu et place de Ford, grâce à des immatriculations en hausse de 60 % (22 612 VP + VUL) et un gain de deux points de part de marché (5,5 %). A noter également, dans le Top 10, que Mercedes et BMW perdent tous deux une place au classement pour se retrouver respectivement en 7ème et 8ème position, malgré des ventes pourtant en croissance.
Au total, 11 marques affichent des ventes en repli au premier semestre sur le marché entreprise. Le plus fort repli est celui de Mini (- 44,73 %, à 1 836 unités). A l’inverse la plus forte progression est celle de Cupra (+ 109,76 % à 4 707 unités).
Quant aux constructeurs chinois, ils ont cumulé sur les six premiers mois de l’année, 1 889 immatriculations et leur part de marché reste stable à 0,5 %.
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