Arval Mobility Observatory Newsroom

Le traitement fiscal de la plus ou moins-value de cession constatée à l'occasion de la cession d'un véhicule, ou plus généralement de sa sortie de l'actif immobilisé, dépend du régime fiscal de l'entreprise.

Le coût d’usage d’une automobile est un concept aujourd’hui bien installé dans le milieu économique auprès des chefs d’entreprise, qui en comprennent tout l’intérêt. Mais, et c’est la nouveauté de ces derniers mois, il prend aussi de l’importance auprès des ménages.

L'Observatoire du véhicule d'entreprise publie le tout dernier Mémento automobile des entreprises. Une nouvelle fois réalisé en collaboration avec les équipes du Bureau Francis Lefebvre C’M’S, il se veut la référence en matière fiscale et sociale pour tous ceux qui sont concernés par les questions automobiles en entreprise.

Considérée comme le nouvel or noir, la data est le moyen pour les constructeurs automobiles de valoriser la connectivité de leurs véhicules. Le problème est que tout le monde veut sa part du gâteau et qu’on ne demande pas son avis au conducteur.

La voiture est de plus en plus pointée du doigt pour ses méfaits en termes d’embouteillages urbains ou de pollution. Selon le dernier Tom Tom Traffic Index, les automobilistes parisiens ont perdu en moyenne 40 minutes chaque jour l’année dernière dans les bouchons.

L’IA (AI en anglais) serait-elle le Grâal à atteindre pour les constructeurs automobiles ? En tout cas, ils sont quelques-uns à investir dans ce domaine. Le plus en pointe est clairement Toyota, qui a dépensé plusieurs dizaines de millions de dollars pour monter des labos communs avec l’Université de Stanford, le MIT et dernièrement l’Université du Michigan.

(Paris, mis à jour le 21 novembre 2016)

Les députés ont définitivement adopté, mercredi 12 octobre, le projet de loi de modernisation de la justice du XXIe siècle. L'un de ses articles (article 34) fixe de nouvelles contraintes aux employeurs en créant un nouvel article au Code de la route (article L.121-6).

L’ Arval Mobility Observatory analyse dans un nouveau cahier les forces et faiblesses de chaque énergie pour le marché du véhicule d’entreprise.

Le risque routier représente la première cause d’accident mortel au travail. Un constat dramatique face auquel de nombreuses entreprises se mobilisent. Car les préjudices de ces accidents sont tout autant humains, sociaux, qu’économiques. L’accident d’un salarié ajoute souvent pour l’entreprise de multiples contraintes : obligation de recruter (ou de réorganiser les équipes), nécessité former un nouveau collaborateur, surcharge de travail liée à la prise charge du sinistre, etc… Pour les entreprises les plus fragiles, c’est la survie même de l’activité qui peut être en jeu.